Pérou et bolivie, interview : simon, backpacker, raconte son aventure !

27 et 29 ans. Les réalités de la vie, les attentes de la société, tout cela se rapproche très fort. Mais hé, attendez encore un peu avec cela, nous nous évadons quelques temps. Un mois au Pérou et en Bolivie. Découvrons d’autres paysages, parfums et couleurs, cultures et friandises. Élargissons notre vue sur le monde avant de mettre nos propres bambins au monde.

4 juin 2017 : Itinéraire préparé, sciemment, rien n’est encore fixé. Nous voulions avoir la liberté de nous laisser guider sur place par nos sentiments et par ce que nous rencontrerions. Nous pouvions ainsi nous réveiller le matin et partir dans le désert pour y faire du parapente et quelques heures plus tard, nous prélasser à la piscine avec un livre. Partir à la rencontre des pingouins et des otaries dans leur habitat naturel et nous protéger le même jour d’une tempête de sable.

Les aventures n’ont pas manqué : faire du VTT sur la ‘Death Road’, rouler en buggy dans les dunes, faire du sandboard, partir en randonnée de plusieurs jours, etc. Mais l’aspect culturel n’a pas été oublié : le Machu Picchu bien sûr, les fêtes populaires de Cusco, la visite du couvent d’Arequippa, la découverte de marchés locaux, etc.

Outre l’aventure et la culture, c’est toutefois la nature qui nous a plusieurs fois coupé le souffle. Regarder plein d’admiration autour de nous et penser « Quelle chance avons-nous tout de même ! ». Sur un mois : une étendue désertique, une fraîche verte nature, d’étroits ruisseaux, d’abruptes parois rocheuses, d’infinies étendues salées, des lagunes d’une beauté indescriptible, de sublimes sources d’eau chaude, d’angoissantes mines, une magnifique Rainbowmountain, des sommets montagneux enneigés, des formations rocheuses folles, … Toujours à nouveau cet étonnement, toujours à nouveau ce moment de bonheur intérieur parce que nous avons la chance de voir tout cela.

Et bien sûr, la rencontre d’autres gens. D’une part, la population locale qui, en secret, trouve amusant le fait que l’on essaie de se débrouiller avec quelques mots d’Espagnol, qui essaie de nous convaincre d’essayer tout ce qui peut l’être, et qui nous indique le chemin, parfois avec un petit détour.~D’autre part, les autres voyageurs. Des gens de tous les coins du monde, d’origines complètement différentes, mais animés tous par l’idée de voyager, de découvrir et de rencontrer. Cette ouverture réciproque, ces conversations intéressantes, cette serviabilité spontanée,  c’est quelque chose d’unique.