Mathieu cycliste intermodal

Mathieu et son vélo pliable, une équipe depuis 7 mois 

"J’ai 37 ans et suis directeur commercial chez Decathlon, où je travaille depuis 11 ans."

Btwin intermodal Decathlon

Avant le vélo pliable, comment je me déplaçais ? 

Quand j’ai emménagé près de Lille avec ma famille, nous avons fait le choix de vivre à la campagne. Nous avons choisi une maison à mi-chemin entre mon travail et celui de ma femme. Trois mois seulement après mon arrivée, les locaux BTwin ont été déplacés de Decathlon Lesquin à Decathlon Campus : mon temps de trajet s’est considérablement rallongé et, pendant 4 ans, j’ai passé plus de deux heures en voiture chaque jour. À force d’écouter la radio, je crois que je pourrais devenir analyste politique sur RTL !

Decathlon Btwin

Depuis quand je fais du vélo ?

Il y a quelques mois, un collègue qui vient au travail en trottinette m’a appris que j’habitais sur la ligne Valenciennes-Lille, qui s’arrête tout près du Btwin Village. J’ai consulté les horaires du train : ça pouvait coller ! Au mois de mai, j’ai acheté un T!lt 900 : un vélo pliant pour faciliter le trajet en train. Ma femme ne me croyait pas et m’a demandé si j’étais fou, mais j’ai réussi le challenge. Depuis, je prends vraiment plaisir à venir au travail à vélo, surtout lorsque je pars de chez moi : je profite du paysage.

Que m'a apporté le vélo pliable ? ma réponse avec un exemple concret !

Je dépose mes enfants à l’école de mon village à 8h20, puis je parcours à vélo les 2,6 km qui me séparent de la gare. Je prends le train de 8h31 et j’arrive à la gare de Mont de Terre à 8h42. Moins de 2 km plus tard, je suis au travail. Il est 8h50. Avant, avec la voiture, j’arrivais au plus tôt à 9h05. J’ai donc gagné au moins un quart d’heure ! Mais surtout, je suis beaucoup plus détendu (éviter les embouteillages y contribue aussi !).

Mathieu Btwin Decathlon

À quelle fréquence j'utilise mon vélo pliable ?

Depuis, j’utilise le vélo intermodal pour la plupart de mes trajets, tous les jours et par tous les temps : quand on est bien équipé, ce n’est pas un problème. D’ailleurs, cela m’a permis de me rendre compte qu’il ne pleut pas aussi souvent qu’on le dit, dans le Nord ! Bien sûr, j’utilise encore parfois mon véhicule, lorsque la contrainte est trop forte. Mais c’est aussi une satisfaction pour moi, en tant que passionné de sports de plein air, de privilégier au quotidien des modes de transport plus écologiques.

Mon conseil pour ceux qui voudraient s'y lancer :

En parler avec ceux qui l’ont fait et… essayer ! Moi j’ai mis un moment à passer le cap, mais je serais ravi de convaincre quelqu’un de s’y mettre à son tour, car personnellement, je ne reviendrais pas en arrière !