Trouver sa place en entreprise: ils ont trouvé leur truc chez Decathlon

Trouver sa place en entreprise: ils ont trouvé leur truc chez decathlon

Il n'est pas toujours simple de trouver sa place en entreprise. C'est parfois immédiat. Ça prend souvent un peu plus de temps. On vous présente cinq collaborateurs qui ont trouvé "leur truc" chez Decathlon.

Trouver sa place en entreprise: ils ont trouvé leur truc chez Decathlon

Leur truc, la vision de decathlon

Nos collaborateurs ont trouvé leur truc. Et ça tombe bien. Car “leur truc” cadre parfaitement avec la vision de Decathlon. Celle-ci se concentre sur cinq objectifs: la Santé, les TranSports, la Vie Locale, la Régénération et l’Inclusivité. Joseph, Nicolas, Camille, Sylvie et Sophie font vivre ces cinq thématiques dans notre entreprise, au quotidien. Partez à leur rencontre ci-dessous.

Trouver sa place en entreprise: ils ont trouvé leur truc chez Decathlon

#Santé - joseph mukandu, responsable communication digitale pour “keep active”

Les Decathlonien·nes sont vos partenaires de santé, pour une meilleure qualité de vie. Nous favorisons un mode de vie conscient grâce au sport.

L’aventure de Joseph au sein de Decathlon débute en 2017 avec un stage d’observation dans l’équipe marketing digital. Puis un deuxième, plus long, l’année suivante. Il intègre alors l’équipe en tant qu’étudiant, un jour par semaine. Son Master en communication digitale en poche, le voici engagé dans la team direct marketing.

Aujourd’hui je passe la moitié de mon temps sur le direct marketing et l’autre sur le programme “Keep Active”, explique Joseph. Pendant le premier confinement, nous avons lancé plusieurs “live” avec des coachs. “Keep Active” est une plate-forme qui a structuré ces cours en ligne à partir de juillet 2020 autour de trois axes: le sport, le bien-être et l’alimentation.” Ces cours sont dispensés par des coachs certifiés. “On en compte 16 dans l’équipe actuellement, explique Joseph. Et près de 2000 participations ont été enregistrées lors de ces cours.”

Plutôt pas mal pour un début. “Ma fierté, c’est de recevoir les retours positifs des clients. Des coaches, aussi. Certains avaient en effet perdu leur boulot dans les salles de sport et ont pu travailler avec nous. Je pense que nous avons pu apporter quelque chose de positif pendant la pandémie, tant à nos clients qu’aux coaches.”

Et pour la suite ? Keep Active va encore se développer. “J’aimerais encore toucher plus de monde, aussi dans les clubs, les entreprises. Et puis partager ces cours derrière des écrans, c’est bien. Mais si c’était “en vrai”, ce serait encore mieux. J’aimerais créer un lien plus fort encore entre les coaches, les clients et nous.”

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#Transport - nicolas hoppe, ambassadeur local “bike to work”

Les Decathlonien·nes rendent possible un tranSPORT propre et sain.

Après avoir bossé 17 ans en toiture, Nicolas Hoppe est arrivé dans l’entreprise voici cinq ans. En poste au magasin de Belle-Île (LIège) dans les rayons cycle, atelier et course à pied, il réalise tous ses trajets domicile-boulot à vélo. C’est donc tout naturellement qu’il est devenu ambassadeur local “Bike to Work.”

“Je viens travailler à vélo par tous les temps, sourit Nicolas. Il n’y a pas un jour où je ne suis pas venu travailler à vélo. Je roule entre 20 et 30 kilomètres  le matin, la même chose le soir.” Aller au boulot à vélo, pour Nico, c’est devenu incontournable. “Avant, avec ma compagne, on avait deux véhicules. Pour venir travailler dans le centre-ville, j’étais toujours bloqué dans la circulation. J’ai alors commencé à faire les trajets à vélo, j’y ai tout de suite pris goût. Désormais, on n’a plus qu’un véhicule. Le matin, je viens par le Ravel et par les bois. J'arrive détendu. Et le soir, je rentre zen à la maison. L’hiver, c’est un peu plus dur, mais la satisfaction est quand-même là. Pour moi, il est impossible de retourner en arrière. C’est un plaisir, voire une drogue.”

Sportif de bon niveau, Nicolas enchaîne les semaines de vélo (moyenne de 300 km mais parfois jusqu’à 500). Cet été, il aimerait se lancer à fond dans les marathons VTT, tout en encourageant ses collègues à se déplacer à deux roues. “D’autant que chez Decathlon, on a toutes les infrastructures pour pouvoir le faire. On a des douches, des endroits pour ranger les vélos. Via mon rôle d’ambassadeur “Bike to Work”, je veux motiver les gens qui sont peut-être un peu moins entraînés à venir aussi au boulot à vélo. Le vélo à assistance électrique est une option. Venir toute l’année, c’est peut-être un peu compliqué. Mais six mois par an, ça me paraît faisable. Et même sous la pluie. Les gens ne se rendent pas compte du bien-être et du plaisir que cela procure.”

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#Vielocale - camille de paepe, leader communication gand

Les Decathlonien·nes sont 100% tournés vers la Vie Locale, et connectés au monde entier.

Comme beaucoup d’employés de Decathlon, Camille a d’abord été étudiante jobiste, dans le rayon sports collectifs du magasin de Gand. Devenue hôtesse d’accueil, sa passion pour les réseaux sociaux l’a poussée à prendre en charge la page Facebook du magasin. “On a aussi lancé un compte Instagram. Au départ, je m’occupais de la communication du magasin de Gand un jour par semaine, tout en étant hôtesse d’accueil. Aujourd’hui, je travaille sur la communication nationale à mi-temps et toujours sur la communication de Gand l’autre moitié du temps.”

Quand la crise du coronavirus a déboulé, Camille a poursuivi sa mission. “Comme tout le monde, on n'avait pas vu venir cette crise… Avec mon collègue Nathan, on s’est dit qu’on devait faire bouger les Gantois malgré tout, en s’appuyant sur les partenariats existants au sein du magasin. On a lancé des “live workouts” avec des coaches. Ça a très bien marché.”

Camille pourrait rejoindre l’équipe “communication nationale” à temps plein. Mais elle est trop attachée à ses racines gantoises pour faire le pas. “J’ai besoin de cette connexion avec ma ville de Gand, où je suis née et où j'ai toujours vécu. Et puis entre le local et le national, je peux construire des ponts, connecter les gens. Je crois beaucoup à la relation “down-top” entre les magasins et le pays plutôt que l’inverse.”

En quelques années, Camille a donc trouvé “son truc” chez Decathlon. “Quand j’ai commencé comme étudiante puis comme hôtesse d’accueil, je ne pensais pas pouvoir faire ce que je fais aujourd’hui ! Je pense que la transformation de l’entreprise m’a aidée.” Du haut de ses 27 ans, Camille est donc bien décidée à poursuivre son rêve gantois: “On veut vraiment que Decathlon Gand ne soit pas qu’un magasin de sport, mais bien le partenaire des Gantois dans tous les domaines qui touchent au sport.”

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#Régénération - sylvie deladeriere, leader second life sur le digital

Les Decathlonien·nes aspirent à une croissance responsable qui bénéficie à la fois aux Hommes et à la planète, en agissant dans le cadre d’une économie régénérative.

Ouverture du magasin de Châtelineau, 1998. Sylvie Deladeriere est engagée comme hôtesse d’accueil en CDD mi-temps. Elle devient ensuite responsable de rayon, puis responsable d’exploitation du magasin, avant d’ouvrir l’entrepôt logistique de Willebroek en 2006. “J’y suis restée jusqu’en 2014 en tant que responsable d’exploitation.” Sylvie passe ensuite cinq ans en Angleterre. À Londres, elle se découvre une passion pour l’upcycling de vieux meubles. Peut-être bien l’étincelle qui déclenchera sa deuxième carrière dans notre entreprise.

“Quand je suis revenue en septembre 2019, je me suis posé quelques questions. Retourner dans mon domaine, la sécurité? Pourquoi pas... Puis j’ai entendu parler d’un projet sur l’e-commerce : arrêter de jeter les retours client, mais plutôt les réutiliser.” Sylvie s’est alors lancée dans son “nouveau truc”, où tout était à construire. “Depuis octobre 2019, on ne jette plus, on trouve des solutions. Cela a commencé avec un partenariat avec le magasin d’Evere puis d’autres magasins où l’on a créé des coins seconde vie.”

Lors du premier confinement, les retours e-commerce ont fortement augmenté suite à la fermeture des magasins. Depuis lors, une solution technique a été trouvée pour pouvoir revendre ces produits retournés en ligne. “Jeter un produit parce que le carton est abîmé ou parce qu’il manque une vis, ce n’est plus possible. Le but c’est de jeter de moins en moins, de réparer de plus en plus. On travaille aussi sur les pièces détachées que l’on récupère sur les articles qui ne sont pas réparables.”

Aujourd’hui, le “second life” est en plein boom, l’équipe de Sylvie s’agrandit. “J’ai l’impression de faire quelque chose qui a du sens, qui me parle et qui est au cœur de notre stratégie. Je suis contente de voir notre évolution dans quelque chose qui n’existait pas, qui a désormais le mérite d’exister et qui se développe.” Le “truc” de Sylvie ne va pas s’arrêter en si bon chemin. “On doit encore pouvoir s’adapter pour aller plus loin dans les solutions et les partenariats. Pour jeter le moins possible, encore une fois.”

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#Inclusivité - sophie criquelion, pacesetter diversité et inclusion

Les DECATHLONIEN·NES sont complètement inclusif·ves et ouvert·es à toutes et tous, nous reflétons la société dont nous voulons faire partie.

Lilloise, Sophie Criquelion travaille pour Decathlon Belgique depuis 3 ans. Mais elle est Decathlonienne depuis bien plus longtemps... Ses études en informatique de gestion l'ont d'abord conduite à intégrer une enseigne de grande distribution française. “La mentalité, c’était plutôt: “On a toujours fait comme ça, il n’y a aucune raison que l’on change”. Ça ne me convenait pas trop.”

Sophie traverse alors une bretelle d’autoroute, à Villeneuve-d’Ascq et intègre le siège de Decathlon International. Plus particulièrement les équipes informatiques, pendant 10 ans. “J’y ai exercé 5 ou 6 métiers différents puis j’ai travaillé sur un projet de communautés. Je me suis rendu compte que mon truc, ce n’était pas l’IT mais bien les gens.”

Sophie "leade" alors différents projets autour de la transparence de l’information dans l’équipe de communication interne puis l’équipe développement durable à l’international. “Où j’ai appris plein de choses sur les objectifs de développement durable de l’ONU. Mais Decathlon France est un paquebot dans lequel travaillent 25000 personnes. Il est donc difficile de changer sa trajectoire.” Cap sur la Belgique, dès lors, voici trois ans. “Je cherchais le bon endroit pour monter mes projets et je me suis rapprochée de Faustino (NDLR: Rabasot, CEO de Decathlon Belgium). Ça a directement matché.”

Avec quelques collaborateurs motivés, Sophie lance alors un petit groupe de travail sur la diversité et l’inclusion. “Il y avait une vraie envie de faire avancer des sujets de sociétés comme l’emploi des PMR, les grandes tailles ou le gender equality." Aujourd’hui, le groupe diversité et inclusion Belgique compte une dizaine de personnes. “Un groupe très diversifié dans lequel tout le monde a une connexion personnelle avec le sujet. Notre challenge pour cette année, c’est d’entreprendre 3000 actions, soit autant que le nombre de collaborateurs de Decathlon Belgique, chacun doit faire sa part pour plus de diversité et d’inclusion.”

En parallèle, Sophie monte un réseau à l’international. “Il y a des idées à prendre partout et ensemble on est plus fort. On a aussi lancé des événements en ligne sur le sujet, ouverts à tous, durant lesquels des Decathloniens mais aussi des externes de tous pays parlent de ce qu’ils font en termes de diversité et d’inclusion.”

Depuis un peu plus de deux ans, Sophie a donc trouvé son truc. “Là, je m’éclate. J’ai l’impression d’être à 100% moi-même. La Belgique est un terrain parfait pour ce projet diversité et inclusion. Mon rêve ? J’ai un peu de mal avec ça car je pense que le travail ne sera jamais fini.”